NLA 2020/2021

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Re: NLA 2020/2021

Beitrag: # 203758Beitrag Rookie »

http://www.hockeyfans.ch/news/meldung/50205

Uiuiuiuiui, da ist die Kacke schön am dampfen... :wink:
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Re: NLA 2020/2021

Beitrag: # 203771Beitrag Rookie »

Lu sur lematin.ch:
Chris McSorley n’est plus directeur sportif de Ge/Servette
Une page se tourne aux Vernets. Après avoir laissé sa place derrière le banc à Pat Emond, l’ancien coach, propriétaire et manager du club grenat est remplacé par Marc Gautschi.


Dans certaines légendes, au bout du village, il n’y a plus de maison, dit-on. C’est souvent la fin d’un voyage et d’une belle histoire. Après avoir été prié, il y a un an, de laisser son bureau et le banc à Pat Emond, Chris McSorley n’est désormais plus le directeur sportif de Ge/Servette. L’Ontarien (58 ans) a été libéré de son poste suite à des divergences. Elles concernent «le management et les règles de gouvernance du club». Le couple battait de l’aile depuis plusieurs mois. «C’était préférable pour les deux parties, qui étaient insatisfaites, de lui retirer cette fonction», précise le président, Laurent Strawson, lequel lui a annoncé cette nouvelle début juillet. «Mais, ajoute-t-il, il reste pour l’instant à disposition du club.» Jusqu’à quand? Mystère.

Selon nos informations, il semblerait qu’il y ait aussi un désaccord sur la durée de son contrat, concernant notamment la validité d’une option de cinq ans à partir de 2023 que réclame l’ex-propriétaire, coach et manager des Aigles. «Nous nous sommes positionnés à son égard, mais on ne peut pas en dire plus pour l’instant, ajoute l’avocat genevois. On va toutefois essayer de résoudre cette situation intelligemment.» Comme le confirme le dirigeant, «dans tous les cas de figure, le directoire grenat assumera l’intégralité de ses obligations vis-à-vis de lui». Il a tant donné au club…

«C’était préférable pour les deux parties, qui étaient insatisfaites
»

Débarqué dans la Cité de Calvin le 6 avril 2001 dans la peau de manager général de Ge/Servette, alors en LNB, Chris McSorley, qui avait été engagé à Londres par le groupe Anschutz, avait métamorphosé les Aigles à son image pour les emmener rapidement parmi les meilleures formations du pays. Jusqu’au sommet.

Avec lui à la bande, le GSHC a grandi, pris du galon, pour disputer ensuite deux finales de championnat (2008 face à Zurich et en 2010 contre Berne), une autre de Coupe de Suisse (2017) perdue à Kloten. Sans oublier, bien sûr, les deux victoires à la Coupe Spengler (2014 et 2015) à Davos. Ce coach pas comme les autres, redoutable et redouté, était prêt à tout pour faire gagner son équipe, lui donnant une âme, une identité. C’est lui qui avait amené aussi Sherkan à la patinoire et un show à l’américaine très apprécié par les fans. Personne ne l’oubliera.

McSorley a-t-il toujours la flamme?

«C’est forcément une page très importante du club qui se tourne, reconnaît Laurent Strawson. Chris a été le personnage le plus important de notre organisation durant ces dernières années. Il nous a inculqué une vraie culture de hockey à Genève. Mais nul n’est irremplaçable et on doit aujourd’hui aller de l’avant.» Le conseil d’administration, qui lui avait redonné les clés il y a deux ans après la parenthèse laborieuse de Craig Woodcroft sur le banc, lui cherche désormais «la meilleure solution, la plus raisonnable pour lui, dans l’organisation».

Reste à savoir s’il a toujours la flamme pour rebondir encore une fois. Après avoir été propriétaire, coach adulé par des milliers de Genevois, il n’est pas évident pour un homme qui adore la communion avec le public de se retrouver ainsi relégué au second plan, en tribunes ou dans un placard, fût-il doré.

«On est tout à fait conscients qu’il n’a pas été facile pour Chris de s’adapter à des nouvelles règles de management et à la nouvelle organisation du club, compte tenu des pleins pouvoirs qu’il possédait par le passé, reconnaît le président. Mais, indépendamment des qualités et des défauts de McSorley, il était compliqué pour nous de lui confier cette responsabilité sportive aussi importante sur le long terme.»

Marc Gautschi ne va pas tout chambouler

C’est Marc Gautschi (37 ans), qui a été sous les ordres de… Chris McSorley de 2011 à 2013, qui assumera désormais cette fonction. Revenu en 2019 aux Vernets après avoir fini sa carrière à Ambri, il collaborait notamment avec les novices élites et déjà avec la commission sportive des Aigles. «C’est un homme intelligent qui aime Genève et qui parle les langues, renchérit Laurent Strawson. Jusque-là, il nous a donné la preuve de ses compétences. Nous sommes convaincus que c’est la bonne personne pour diriger l’organisation sportive dans ces prochaines années.»

Actuellement en camp d’entraînement à Zuchwil avec l’équipe de Suisse des M17, où il est assistant-coach de Patrick Schöb, ce Bernois est passé dans sa carrière par Gottéron, Lausanne, Zoug, Bâle, Langenthal et Ambri, accumulant beaucoup d’expérience partout où il a joué. «C’est un grand honneur pour moi d’avoir été nommé directeur sportif à Genève, dans un club qui a une si belle histoire et une ville que j’ai tout de suite adorée, savoure l’ex-défenseur du GSHC. J’ai toujours été intéressé par cette fonction, c’est un rêve qui devient réalité.»

Mais pour lui, qui n’est pas du genre à trop se mettre en avant, pas question de tout chambouler. «La fondation, qui a donné une deuxième vie au club, souhaite que l’on travaille avec de jeunes joueurs genevois, poursuit Gautschi. C’est ce que nous avons commencé avec un certain succès l’an passé. Nous allons continuer dans cette stratégie, en développant encore notre relève. La base est là, il n’y aura pas trop de changements.»

Si ce n’est celui de Chris McSorley, qu’on ne reverra vraisemblablement plus aux Vernets.
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Re: NLA 2020/2021

Beitrag: # 203780Beitrag Rookie »

Gelesen auf hockeyfans.ch:
Lausanne verpflichtet Cory Conacher für drei Jahre

Dienstag, 28. Juli 2020, 11:37 - Maurizio Urech

Der LHC hat den kanadischen Stürmer Cory Conacher (30) für die nächsten drei Jahre verpflichtet. Conacher gewann 2015/16 den Titel mit dem SCB.

Nach seiner Rückkehr nach Nordamerika bestritt Cory Conacher 52 Spiele 9 Tore, 8 Assist in der NHL für die Tampa Bay Lightning. Er spielte hauptsächlich in der AHL mit dem Farmteam der Syracuse Crunch wo er in 214 Partien 73 Tore und 136 Assist erzielte.
Sind doch noch Moneten vorhanden für solche Engagements??? :?
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Moose11
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Re: NLA 2020/2021

Beitrag: # 204075Beitrag Moose11 »

Et voilà la première magouille de la future saison, avec la possibilité d'aligner 5 étrangers suite au départ d'un joueur en NHL... et c'est les ZSC Lions qui sont à l'honneur, merci à la ligue pour ce nouveau règlement à la noix de coco... :roll: je me disais bien que c'était très étrange que Pius Suter soit acheminé au GCK Lions... :?

https://www.swisshabs.ch/actualites/piu ... -etrangers
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BillieJoeBiel
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Re: NLA 2020/2021

Beitrag: # 207494Beitrag BillieJoeBiel »

Super, jetzt gewinnt der ScheissCB auch noch! Diese Pre-Playoffs sind einfach Kacke!
Es wird spannend zu sehen, wie Zug jetzt gegen die Mutzen spielen wird. Falls sie so spielen wie wir haben sie keine Chance!
Besser auf neuen Wegen etwas stolpern als in alten Pfaden auf der Stelle zu treten. (Aus China) / Wer immer nur das tut was er schon kann, wird immer nur der bleiben, der er schon ist
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Moose11
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Re: NLA 2020/2021

Beitrag: # 207497Beitrag Moose11 »

En fait pour être un peu méchant le jeu de Davos, ressemble étrangement à celui de notre club :lol: , beaucoup de tirs pas très dangereux, un jeu en périphérie inefficace, trafic devant le gardien adverse inexistant, nuls aux engagements, et la cerise sur le gâteau les absences défensives, ah oui j'oubliais encore un pp aux fraises... mais par contre toujours du beau jeu avec de la vitesse, même si ça ne paye pas à ce stade de la saison... :roll:
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djooe
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Re: NLA 2020/2021

Beitrag: # 207500Beitrag djooe »

Moose11 hat geschrieben: 11. Apr 2021, 22:36 En fait pour être un peu méchant le jeu de Davos, ressemble étrangement à celui de notre club :lol: , beaucoup de tirs pas très dangereux, un jeu en périphérie inefficace, trafic devant le gardien adverse inexistant, nuls aux engagements, et la cerise sur le gâteau les absences défensives, ah oui j'oubliais encore un pp aux fraises... mais par contre toujours du beau jeu avec de la vitesse, même si ça ne paye pas à ce stade de la saison... :roll:
Je me suis fais la même réflexion
ICI c'est Bienne !!!!
Fier d'être un VRAI biennois. (et Orvinois aussi)
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Re: NLA 2020/2021

Beitrag: # 207503Beitrag Rookie »

Pas étonnant que les deux clubs qui n'avaient strictement plus rien à perdre jouent les PO: Pas de préssion, saison mentalement déjà "terminé", tout ce qui vient en plus est un cadeau... Ceci peut amener loin. Pour les deux equipes. Rendez-vous compte si mardi soir à 22.00h Burn et le circque des enfants gagnent leur 1ère rencontres :wink:
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darky
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Re: NLA 2020/2021

Beitrag: # 207980Beitrag darky »

Der Schweizer unterschreibt im Tessin gleich für sechs Jahre!
Transfercoup in der National League! Der HCL stattet Mirco Müller mit Megavertrag aus!

Transfercoup für den HC Lugano und seinen neuen Coach Chris McSorley! Wie der Verein mitgeteilt hat, haben die Bianconeri den Schweizer Nati-Verteidiger Mirco Müller verpflichten können!

Der 26-Jährige erhält beim HCL gleich einen Sechsjahresvertrag, was natürlich eine unglaublich lange Zeit im Profisport bedeutet! Eigentlich war es das grosse Ziel von Mirco Müller selbst, sich einen neuen NHL-Vertrag zu ergattern, doch nun zieht es ihn also in die Schweiz zurück. Die Tessiner haben ihre Defensivabteilung nun mit Samuel Guerra, Santeri Alatalo und eben Mirco Müller schon entscheidend verstärken können. Da ist HCL-Sportchef Hnat Domenichelli also ein richtiger Coup gelungen.

Wahnsinn was da wieder Ausgegeben wird....... :shock:
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Re: NLA 2020/2021

Beitrag: # 208367Beitrag Rookie »

Ich poste den Artikel hier, hat irgendwie noch mit der letzten Saison zu tun:
Hier der ganze Artikel über Eric Blum von heute im Tages-Anzeiger, tut weh so etwas zu lesen, good luck.

Dann dachte er: «Ich kann in dieser Welt nicht mehr bestehen»
Schwindel und Schmerzen: Der Eishockeyspieler erlebt die schwierigste Zeit seines Lebens. Er braucht psychologische Hilfe – und kommt trotzdem nur schwer zurecht.

Eric Blum rückt den Stuhl näher, beisst in den Apfel und kommt auf den Punkt: «Es sind die mit Abstand schwierigsten Monate meiner Karriere. Wohl die schwierigsten in meinem Leben.»

Blum, 35, aufgewachsen in Zürich, wohnhaft in Bern, dreifacher Meisterspieler beim SCB, WM-Silber-Gewinner mit dem Schweizer Nationalteam, Eishockeyprofi, Designer, Musiker, Handwerker; ein Charakterkopf, der viele Hüte trägt, sie sogar selbst entwirft und vertreibt.

Sein Wechsel von Kloten nach Bern frischte den SCB vor sieben Jahren auf. Auf dem Eis verlieh der Verteidiger dem Spiel mehr Kreativität, vor allem aber entstaubte er die Garderobe mit seiner Art: der Vater Schweizer, die Mutter Japanerin, der Sohn Eric weltoffen, aufgeschlossen, optimistisch, lebensbejahend.

Seit einem halben Jahr werden Blums Wesenszüge vom Schicksal herausgefordert. Im Dezember ergab eine MRI-Untersuchung bei seinem anderthalbjährigen Sohn eine Anomalie, die regelmässiger Kontrolle bedarf. Blums Frau erhielt ebenfalls gesundheitliche Hürden vorgesetzt.

Gebrochene Nase, gerissene Bänder, Filmriss
Vom einen Moment auf den anderen war die Welt für den Eishockeyspieler eine andere. «Es hat mich völlig in den Tumbler geworfen», sagt er. «Ich war und bin auf psychischer Ebene extrem gefordert.»

Mitte Februar schüttelte es den Verteidiger auch auf dem Eis durch – mit gravierenden Folgen. Ein übler Check des damaligen Davosers Fabrice Herzog beendete Blums Saison: gebrochene Nase, gerissene Bänder in der Schulter, Hirnerschütterung, Filmriss.

«Dann ist der Tag gelaufen, am Familienleben kann ich nicht teilnehmen.»

Schaut sich Blum die Aktion heute an, fühlt es sich an, als beobachte er einen Fremden. Die ersten Flecken in der Erinnerung verortet er in der Garderobe. «Ich sah Streifen, Discolichter. Alles flackerte. Recht schräg wars.»

In den Wochen danach war er häufig erschöpft, hatte Konzentrationslücken. Blum suchte Halt, fand diesen aber selbst im Griff zur geliebten Gitarre nicht, weil ihn laute Geräusche überforderten. Nach einem Belastungstest setzte sich der Zürcher mit geschlossenen Augen in die Sonne und dachte: «Ich kann in dieser Welt nicht mehr bestehen.»

Im Eistraining schmerzt bereits ein einfacher Pass
Vom Check hat sich der 35-Jährige noch nicht erholt. Blum ist in Therapie, der Kopf wirft ihn regelmässig zurück: Schwindel, Schmerzen, «dann ist der Tag gelaufen, am Familienleben kann ich nicht teilnehmen». Zudem schränkt ihn die Schulter ein. Im Eistraining schmerzt bereits ein einfacher Pass, an harte Schüsse ist nicht zu denken. «Die nackten Fakten lauten: Ich bin nicht geheilt und kann Stand heute nicht spielen.»

«Meine Art, mit Menschen umzugehen, deckt sich offensichtlich nicht mit derjenigen von Herzog.»

Herzog schickte nach dem Vorfall eine Whatsapp-Nachricht. Blum liess sie unbeantwortet. Der Verteidiger sagt, er hege keinen Groll, fokussiere auf die Genesung. «Aber meine Weltanschauung, meine Art, mit Menschen umzugehen, deckt sich offensichtlich nicht mit derjenigen von Herzog.»

Der Davoser wurde für acht Partien gesperrt. Blum und Bern verzichteten darauf, das Urteil anzufechten. Eine höhere Strafe hätte dem Verteidiger keine Genugtuung gegeben. «Allerdings frage ich mich, ob ein solcher Spieler lernresistent ist. Zumal er mehrmals mit solchen Aktionen aufgefallen ist.»

Solche Verletzungen könnten Sportler in die Depression führen, sagt Blum. «Deshalb müssen sie thematisiert werden. Wir sind Berufskollegen, jeder übt diesen Sport aus Leidenschaft aus. Der Respekt muss an oberster Stelle stehen.»

Ungewissheit und Angst um die Familie: «Absolut belastend»
Blums Leben ist weiterhin von Ungewissheit getaktet. Der Heilungsverlauf seiner Verletzung lässt sich nicht abschätzen. Und da sind die Ängste um seine Familie. «Bei meinem Sohn wissen wir nicht, ob und wann es ihm wieder gut gehen wird. Für meine Frau stehen Operationen an. Ich hänge im luftleeren Raum. Das ist absolut belastend.»

«Eishockey ist eine Bubble. Die Gedanken vieler fliessen in die ähnliche Richtung.»

Der Eishockeyprofi ist in psychologischer Betreuung. Der Austausch mit Fachleuten hilft. Zudem hält er sich an seiner Vielseitigkeit fest. «Ich habe mein Glück nie auf einer einzigen Säule abgestützt, sondern wollte das Gewicht verteilen, damit nicht alles zerstört ist, sollte ein Pfeiler einbrechen.»

Wenn es Bern sportlich nicht lief, hiess es ab und an, der Blum würde sich besser aufs Eishockey konzentrieren, statt nebenbei Konzerte zu geben, Hüte zu vertreiben, ein Buch über Hamburger zu schreiben. Der Spieler kennt den Vorwurf. Er sagt, gerade in der jetzigen Situation helfe ihm sein weiter Horizont extrem. «Ich liebe Eishockey. Aber Eishockey ist eine Bubble. Die Gedanken vieler fliessen in die ähnliche Richtung. Ich bin froh, kann ich auch auf Leute aus anderen Sparten mit komplett anderen Perspektiven zählen.»

Dann ist es das gewesen mit dem Profisport
Blums Vertrag in Bern läuft im nächsten Frühling aus. Der Sport, das Spiel, der Wettkampf: Das alles bereitet ihm nach wie vor Freude. Und letztlich ist die Gewohnheit ein Begleiter, von dem man sich ungern trennt. Aber Blum sagt, er sei «nicht mehr bereit, eine gewisse Risikoschwelle um des Eishockeys willen zu überschreiten».

«Für viele Spitzenathleten ist Sport alles im Leben. Diese Einstellung teile ich nicht.»

Mit 22 hätte er womöglich anders gedacht, den «krassen Typen rausgehängt und gesagt: ‹Ich ziehe mein Hockey-Ding durch, alles andere ist scheissegal.›» Aber als Familienvater trage er Verantwortung für seinen Sohn, seine Frau. Entsprechend will und wird der 35-Jährige nichts erzwingen.

«Für viele Spitzenathleten ist Sport alles im Leben. Diese Einstellung verurteile ich keineswegs – aber ich teile sie nicht. Ich bin gerne bereit, Extraschichten zu leisten, damit ich möglichst bald wieder spielen kann. Aber ich bin nicht bereit, meine Gesundheit zu opfern.»

Sollte er spüren, dass der Körper die Rückkehr aufs Eis nicht mehr zulasse, dann sei es das leider Gottes gewesen mit dem Profisport. «Gesundheit und Familie sind mir so viel wichtiger.»

Wenn bei Eric Blum in den vergangenen Monaten eine Erkenntnis gereift ist, dann diese.
Ich habe Blum immer als einen korrekten und fairen Spieler gesehen. Trotz dem falschen Leibchen das er trug, aber DAS hat er definitiv nicht verdient....
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