Pressespiegel 22/23

Alles rund um den EHC Biel / Tout sur le HC Bienne
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EL_Loco-BNC
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 218889Beitrag EL_Loco-BNC »

Kent Ruhnke: «So, Dan, wie würdest du dich als Hockeyspieler beschreiben?» - Daniel Poulin: «Ich bin der Beste!»
h-okay
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 218917Beitrag h-okay »

In Bern "brannte" angeblich nach der 2:4 Niederlage die "Hütte" auch noch lange nach Spielschluss. Scherwey, der Dido im letzten Drittel angeblich mehrmals von der Bank aus wegen seinen zulangen Eiszeiten anschrie..😅, motzte den Gerüchten zufolge auch noch lange nach Spielschluss herum. Auch sonst sei die Stimmung sehr aufgebracht bis zerstritten gewesen..und praktisch alle hätten Didos' "Lööv-Abschuss" ganz klar verurteilt. Während die Jungen mehrheitlich schwiegen, und wohl froh waren, als sie nach Hause kamen..
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Lindberg
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 218967Beitrag Lindberg »

Ein Jetlag scheint dem Eismeister gut zu tun. Seiner Analyse des 3. PO Spiels kann ich zu 100% beipflichten.

https://www.watson.ch/sport/schweiz/541 ... pukgestalt

Und: Einst hat Robbie Earl mit einer saudummen Strafe im PO Halbfinal gegen Lugano unseren Untergang ausgelöst. Möge Schneeberger nicht das gleiche Szenario eingeläutet haben.
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 218985Beitrag Rookie »

Gelesen auf planetehockey.com:
Hier soir, Joren van Pottelberghe avait pris place pour la première fois dans la cage biennoise lors de ces playoffs, en raison de l'absence un peu surprenante du titualire Harri Säteri (photo) dont les gazettes n'avaient guère fait écho.

On en sait un peu plus maintenant. Säteri était devenu père le matin-même, il lui était tout de même difficile de tenir sa cage en étant auprès de sa femme
Müssen wir jetzt unseren Song umtexten? "Papa Säteri, Papa Säteriiiii...." :lol: :lol: :lol:
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100%Bieler
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219002Beitrag 100%Bieler »

Le Temps hat geschrieben: Martin Steinegger, le mage du HC Bienne
HOCKEY Battu samedi par Berne, le club seelandais mène 2-1 dans la série en quarts de finale des play-off de National League. Une réussite qui doit beaucoup à son directeur sportif de longue date, ancien joueur très respecté et personnage profondément humain

Martin Steinegger est un homme sollicité et disponible. Pour ses joueurs, pour les supporters, pour la presse. La vraie star du club, c’est lui, plus encore que l’entraîneur finlandais Antti Törmänen ou le capitaine Gaëtan Haas. En Suisse alémanique, il incarne le club, très présent dans les médias. Un rôle qui, pour la Suisse romande, est dévolu à la coprésidente Stéphanie Mérillat. Ce tandem réuni par l’humour et la passion fait beaucoup pour la cote de sympathie de cette équipe, deuxième à l’issue de la saison régulière de National League, et qui affronte actuellement son grand voisin bernois en quarts de finale des play-off. Battu 3-5 samedi à la Tissot Arena, le HC Bienne ne mène plus que 2-1 avant le quatrième acte, mardi soir à Berne.

Le succès sportif du club est aussi clairement dû à Martin Steinegger, tout à la fois découvreur de jeunes talents, dénicheur d’excellents étrangers et formidable psychologue pour relancer des hockeyeurs en déshérence.

Joueur, celui que tout le monde surnomme Stoney était un défenseur engagé, rugueux parfois, doublé d’un vrai leader. Sa carrière a été exemplaire, la preuve en quelques chiffres: à 18 ans, il joue son premier match en LNA avec le HC Bienne; à 21 ans, il en est déjà le capitaine. Puis départ pour 15 saisons chez le grand rival du CP Berne avec à la clé deux titres de champion de Suisse. Il a aussi porté le maillot de l’équipe nationale à 219 reprises, ce qui en fait le sixième joueur le plus capé de l’histoire. Retour au bercail en 2008 et quatre ans plus tard, à 40 ans, il range définitivement ses patins, pour devenir directeur sportif.

«Le patron de ses copains»
Autre figure emblématique du HCB, Mathieu Tschantré se souvient: «Cette transition n’a pas été facile. Il devenait le patron de ses copains. Sur le plan sportif, la situation était compliquée. Il a fait quelques erreurs, mais il a beaucoup appris. Il a joué un rôle essentiel dans le renouveau du club en mettant de nombreuses choses en place. Aujourd’hui, tout est bien réglé et structuré.»

Les compliments pleuvent aussi du côté de la coprésidente Stéphanie Mérillat. Elle vante sa connaissance du hockey et son sens du dialogue: «Il est ambitieux, mais aussi très terre à terre. Il respecte notre sagesse financière et ses demandes sont concrètes et raisonnables.» Elle sourit, se reprend: «Même s’il nous a proposé d’avoir deux gardiens premium l’année prochaine… Nous avons accepté.» Le Finlandais Harri Säteri, meilleur gardien du championnat, restera dans la cité seelandaise avec l’international suisse Joren van Pottelberghe, qui revient de blessure.

Quelle est la méthode du mage biennois? Martin Steinegger rit, et après une courte pause livre son secret: «Pour moi, l’essentiel, c’est de faire confiance aux gens. Tu peux prendre des décisions dures, mais tout le monde doit être conscient que c’est dans l’intérêt du club, qu’il y a une ligne. Je tiens mes promesses. Par ailleurs, je n’ai pas peur des joueurs dits difficiles, ils doivent simplement s’intégrer à l’équipe.»

Homme fort du club, ne fait-il pas de l’ombre à d’autres, et notamment au coach Antti Törmänen? «Je ne vais jamais dans les vestiaires, c’est le bureau de l’entraîneur. Je m’entends très bien avec lui, je donne mon avis sur la tactique ou la composition des lignes, mais ensuite, c’est lui qui décide.» Discussions aussi autour des transferts de joueurs, mais là, le dernier mot revient à Stoney. «Pour moi, un joueur doit bien patiner, être rapide, mais surtout il doit avoir appris à prendre des décisions sur la glace. S’il se trompe, on en discute après, mais l’important, c’est qu’il ait décidé.»

Entraîneur, Martin Steinegger l’a été. C’était entre novembre et décembre 2017. Avec succès puisqu’il avait emporté cinq victoires en six matchs. Mathieu Tschantré était alors sur la glace. «Après l’intérim qu’il avait effectué, je pensais qu’il serait un jour entraîneur. S’il décide un jour de franchir le pas, je suis sûr qu’il sera bon.» De son côté, Stéphanie Mérillat veut éviter toutes frustrations du côté de Martin Steinegger. Elle assure que la direction du club lui a posé plusieurs fois la question et qu’il a, jusqu’à présent, toujours dit non.

Entraîneur un jour?
Et qu’en pense le principal concerné? A 51 ans, il n’exclut rien, mais ajoute aussitôt: «Le temps est contre moi et j’ai trouvé la paix intérieure avec ce que je fais actuellement.»

Le personnage est profondément humain. En 2020, Antti Törmänen souffre d’un cancer. Le club lui accorde une année pour se soigner. Après le diagnostic, Martin Steinegger se préoccupe évidemment de sa santé, mais il va aussi voir la femme du Finlandais: «Je voulais savoir comment elle se sentait.»

Sa personnalité et sa carrière en font une star à Bienne, mais il se met aussi une très forte pression: il ne veut pas décevoir les siens. Il revendique aussi son attachement au bilinguisme de sa cité. Au-delà des clichés. «A Bienne, chacun a le droit de parler dans sa langue et se fait ainsi comprendre par l’autre. C’est une vraie ouverture d’esprit qui marque tout le club.» Même si seuls trois francophones évoluent actuellement dans la première équipe? Encore un clin d’œil: «Quand on gagne, on est considéré à la fois comme une équipe alémanique et romande…»

Dernier club «romand», donc, à avoir été champion de Suisse, c’était en 1983, peut-il rééditer un tel exploit? Martin Steinegger devient très prudent: «Je suis toujours optimiste, mais en playoff, chaque série est différente et les petits détails peuvent faire la différence.» Il se réjouit aussi de l’ambiance qui règne actuellement à la patinoire, mais aussi dans toute la ville, sa ville. En fait, pourrait-il un jour rejoindre un autre club? «J’ai droit à un joker», rigole-t-il.

«Je n’ai pas peur des joueurs dits difficiles, ils doivent simplement s’intégrer à l’équipe»
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placid2000
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219005Beitrag placid2000 »

2 matchs pour Künzle
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219006Beitrag Topscorer »

placid2000 hat geschrieben: 20. Mär 2023, 17:25 2 matchs pour Künzle
Ganz nüchtern und ohne EHCB-Brille betrachtet, sind zwei Spiele eigentlich eine Frechheit. Wenn du einen Ref unabsichtlich touchierst und diesen hauts auf die Schnauze, gibts rigoros mindestens 3 Spielsperren, aber wenn du einen Gegenspieler mit einem Dirty Hit in den Rücken in die Bande knallst, gibt es nur 2 Spiele. Aha :roll:.
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219013Beitrag Forsberg »

Und wenn Du einen gegnerischen Spieler vor Dir am Boden hast und extra voll auf ihn abzielst kriegst Du nicht mal eine Strafe :shock:
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219014Beitrag Rookie »

Forsberg hat geschrieben: 21. Mär 2023, 09:28 Und wenn Du einen gegnerischen Spieler vor Dir am Boden hast und extra voll auf ihn abzielst kriegst Du nicht mal eine Strafe :shock:
+1'000!!! :twisted: :twisted: :twisted:
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dr Resu vo Mett
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219016Beitrag dr Resu vo Mett »

BT vom 21.3.2023



Tristan Scherwey und der SCB warnen die Bieler: «Wir wissen, wie wir sie schlagen können»
Der SC Bern, der zu Beginn der Serie vom EHC Biel dominiert wurde, ist im Viertelfinale auf 2:1 herangekommen. Heute Dienstag steht der nächste Match auf dem Programm.


Wenn das Spiel mit den Emotionen während eines Eishockeyspiels eine Kunst wäre, wäre Tristan Scherwey, der SCB-Spieler, sicher einer der besten Lehrer; so perfekt wie er es beherrscht. «Es ist Teil des Spiels, Emotionen in die Playoffs zu bringen. Unsere Fans feuern uns schon so lange an, ich will ihnen zeigen, dass wir am Leben sind und bereit sind, alles zu geben, um diese Serie zu gewinnen», so die Nummer 10 des Hauptstadtclubs.

Sein ehemaliger Teamkollege Gaëtan Haas pflichtet ihm bei. «Ich liebe es, wenn das Publikum intensiv und direkt am Spiel teilnimmt. In einer solchen Atmosphäre ist man noch motivierter», so Haas.

Berner haben Moral getankt
Angetrieben von einem Adrenalinschub gelang es den Bernern, ihren ersten Sieg in dieser Serie zu erringen und die Serie auf 2:1 zu verkürzen. «Wir wollten diesen Erfolg unbedingt. Jetzt wissen wir, wie wir Biel schlagen können. Das ist ein sehr gutes Gefühl und gibt uns enorm viel Selbstvertrauen für die nächsten Spiele», betonte Tristan Scherwey. «Nun liegt es an uns, diese Leistung zu wiederholen.»

In Sachen Emotionen wird ein Mann im Berner Lager besonders unter die Lupe genommen. Es handelt sich dabei wenig überraschend um Chris DiDomenico. Der Kanadier erweist sich, wenn er sich wie am Samstag beherrschen kann, als unbestreitbarer Trumpf für die Truppe von Toni Söderholm. Die Frage ist, ob er in der Lage sein wird, in jedem Spiel mit der gleichen Einstellung anzutreten.

Ausverkaufte Tissot Arena

Die Tickets für das fünfte Spiel am Freitag in der Tissot Arena wurden am Montagnachmittag zum Verkauf angeboten und waren nicht lange auf dem Markt. Innerhalb weniger Minuten waren alle Plätze ausverkauft.

Nicht nur die Emotionen
«Ich habe volles Vertrauen in ihn», sagt Scherwey. «Er ist alt genug, um sich selber im Griff zu haben. Es ist nicht meine Aufgabe, ihm zu sagen, was er tun soll. Ich konzentriere mich auf meine Rolle.»

Das Viertelfinale zwischen den beiden Kantonsrivalen lediglich auf den gekonnten Umgang mit den Nerven zu reduzieren, ist nach Ansicht des fünffachen Schweizer Meisters (2010, 2013, 2016, 2017 und 2019) jedoch zu simpel. «Ich glaube nicht, dass der Unterschied nur darauf beruhen wird. Ich finde die Qualität des Spiels, die beide Mannschaften bieten, hervorragend. Die Bieler sind schnell und vor dem Tor sehr geschickt. Es liegt an uns, uns auf diese Aspekte zu konzentrieren und damit das Spiel zu ändern», analysiert er. «Wir treffen auf einen Gegner, der beweist, dass er nicht umsonst den zweiten Platz in der regulären Saison belegt hat. Er stützt sich auf vier starke Linien. Aber wir haben die Mittel, um den EHC schlagen zu können».

Bieler sind gewarnt
Der internationale Flügelstürmer ist beeindruckt von der Entwicklung der Seeländer: «Biel ist nicht zufällig hier. Die Arbeit, die der Verein geleistet hat, überzeugt. Trotzdem: Auch wenn wir Turbulenzen durchgemacht haben, sind wir immer noch der grosse SCB und wollen diese Serie gewinnen», sagt er selbstbewusst.

Der EHC Biel ist also gewarnt und wird auf dem Weg ins Halbfinale nichts geschenkt bekommen. Die Berner, allen voran ihre Nummer 10, Tristan Scherwey, werden dem EHCB in jeder Sekunde das Leben schwerzumachen versuchen.

«Ich habe grossen Respekt vor Etiennes Karriere»

Je nachdem, wie die Serie zwischen den beiden Kantonsrivalen verläuft, könnte es sein, dass Etienne Froidevaux am Dienstagabend zum letzten Mal in seiner Karriere das Eis betritt. Für den Center des EHC Biel, der in der Hauptstadt ausgebildet wurde und zwischen 2007 und 2012 fünf Saisons für den SC Bern spielte, wird es also ein besonderes Spiel werden.

«Ich muss zugeben, dass es eine seltsame Vorstellung ist, dass er bald aufhören wird. Ich hatte Glück, dass ich zu Beginn meiner Karriere mit ihm zusammenarbeiten durfte. Er ist ein sehr netter Kerl, der mir viele Ratschläge gegeben hat. Wir hatten eine tolle Zeit zusammen», erinnert sich Tristan Scherwey. «Ich habe grossen Respekt vor Etiennes Karriere. Ich wünsche ihm, dass er seine letzten Spiele gut geniessen kann. Natürlich hoffe ich, dass wir uns qualifizieren, aber wenn ich den Eishockeyhelm abnehme, ist er ein Freund und er kann stolz auf das sein, was er erreicht hat.»

Etienne Froidevaux ist nicht das einzige Gesicht, das Tristan Scherwey beim EHC Biel kennt. «Wenn ich gegen Freunde antrete, ist das etwas Besonderes, aber wenn ich auf dem Eis stehe, gibt es keine Unterschiede mehr. Am Ende geht es um die Playoffs. Wir werden alles daran setzen, dieses Derby zu gewinnen.»
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219017Beitrag Topscorer »

Naja er hat schon recht, sie wissen wie man uns schlagen kann, nur hat man leider nicht in jedem Spiel vier Sonntagsschüsse, von dem her war der Berner Sieg am Samstag nicht grundlos der letzte in dieser Saison und da besonders Trische weiss wie man eine Emotionen uner Kontrolle behält, gibt es daran sowieso keine Zweifel :).
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219020Beitrag Topscorer »

Forsberg hat geschrieben: 21. Mär 2023, 09:28 Und wenn Du einen gegnerischen Spieler vor Dir am Boden hast und extra voll auf ihn abzielst kriegst Du nicht mal eine Strafe :shock:
Ähnlich tragisch finde ich, dass Davos' Irving für praktisch den identischen Check wie derjenige von Künzle im Spiel selbst nichtmal bestraft wurde und auch nachträglich kein Verfahren eröffnet wurde. Es sieht halt einfach schon so aus, als hätten gewisse Klubs bei solchen Vorkommnissen einen Bonus, während bei anderen Teams, noch fast während des Spiels ein Verfahren eröffnet wird.
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219022Beitrag #05 »

Topscorer hat geschrieben: 21. Mär 2023, 10:15 Naja er hat schon recht, sie wissen wie man uns schlagen kann, nur hat man leider nicht in jedem Spiel vier Sonntagsschüsse, von dem her war der Berner Sieg am Samstag nicht grundlos der letzte in dieser Saison und da besonders Trische weiss wie man eine Emotionen uner Kontrolle behält, gibt es daran sowieso keine Zweifel :).
Diese Hackfresse hat ja gar keine andere Wahl als jetzt eine grosse Klappe zu schwingen. Wie schon mehrfach gesagt, wir können uns - wie im letzten Spiel - nur selber schlagen. Ich erwarte heute ein ganz anderes Biel wie im letzten Match.
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219023Beitrag Topscorer »

https://www.watson.ch/sport/analyse/393 ... cb-gewinnt

Amen, dem gibt es nichts hinzuzufügen.
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Re: Pressespiegel 22/23

Beitrag: # 219025Beitrag h-okay »

Eine völlig nüchterne, von Polemik freie Analyse. "Frei von" Gotthelf- und eidg. Vergangenheitsgeschwafel..
Habe bereits vergessen, dass der Zaugg Klausi auch noch anders kann. Hätte ich so nicht erwartet😅
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